On quitte notre ferme via un bus local qui regroupe toute la population du village. Le bus se trouve etre une boite de conserve sur roues mais avec plus de vitres. Tout le monde s’entasse la dedans, le temps d’arriver jusqu’au centre de San Pedro via de nombreuses routes cabossées. A l’interrieur de ce bus mon oeil de photographe ne cesse de fonctioner,mais leurs yeux d’argentins intrigues ne cessent de nous fixer. Je laisserai donc mon appareil photo rangé pour cette fois.
Le trajet jusqu’á Puerto Iguazu,lui, se fait dans un bus climatisé, qui nous déposera dans la ville le soir á 20h30. On a pour conseil d’aller passer nos nuit au camping La Modista pour la maudique somme de 20 pesos par personnes et par nuit. On s’engage donc dans une rue de terre rouge et de pierres. On arrive dans cette jungle qui nous servira de dortoir. La proprio nous accueille et nous montre les regles á respecter.
- Pas de bourrés
- Pas de bruit après minuit et pas de 13h á 16h (l’heure de la sieste)
- Lá bas en bas c’est lá oú on peut fumer de “cigarillos espécials”.
On accepte. Nous voicis dans un camp de Roots au milieu de cette foret subtropiale:
- Des gens qui font des bracelets
- D’autres qui boivent du maté avec un chaton sur le jambs
- Un Paul Naref fabricant et vendeur de pipes a fumer, assez uniques (ells mesurent 50cm,ont des pierres de couleurs tout les 3cm et on tune sote de visage loufoque au bout)
Tous avec des dreads,tattoos ou les 2. Lá bas en bas y’a les autres qui fument ce qu’ils veulent. O a dessuite l’immage du “Peril Jeune” quand ils sont dans le squat. On fait vite connaissance avec tout ce monde. Ils sont tous d’Argentine. Le lendemai levés 7h sur conseil des Argentins, Pour éviter la foule de touriste dans le parc. Direction les cataratas d’Iguazu classes patrimoine mondial de l’ UNESCO. Les images parlent d’elles memes.
Elles sont plus nombreuses que les chutes du Niagara ( Elles sont 200) mais brassent moins d’eau ( bien que les tonnes de litres d’eau soient impressionantes).
Il y a de petits habitants dans le parc, á la griffe facile. Ceux ci ressemblent á un raton laveur avec l’agilité d’un singe. Ils se sont tout simplement accrochés á notre poche de pique nique,et déchiré celle-ci en 2scde pour nous voler un paquet de chips. Disparues en 1,30min les chips. On aura meme reussit a se faire voler par des animaux.
En dehors des animaux,ici les enfants,ont le teint tané par le soleil et le vent, les pieds nu, tout sales et chantent pour extirper de l’argent aux tourists…et ca marche.
La ville d’Iguazu en soit est une ville au climat sub tropical,quadrillee par des rues de terre rouge, plutot cabossées,aux nombreux enfant vendants des choses de toutes sortes á qui les croise
De 12h á 17h il n’y a aucune acivité dans la ville. Celle-ci deviant deserte, seuls quelques touristes osent s’avanturer sous le soleil cuisant du Nord Est de l’ Argentine
Igauzu et la Modista nous auront ammené dans un autre monde, bien loin de rues hyperactives de Cordoba.
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